Quel a été votre parcours ?
J’étais auparavant dans la formation professionnelle. Donc déjà dans la pédagogie. Lorsque j’ai changé de région, j’ai cherché une activité équivalente et j’ai choisi le soutien scolaire. J’ai ouvert une première agence en février 2010 à Fréjus et une seconde à Nice en octobre 2010, car j’avais l’opportunité de prendre ce secteur où il y a du potentiel et je ne voulais pas la manquer. Je me partage donc entre les deux.
Pourquoi avoir choisi la franchise et pourquoi Anacours ?
C’est un gain de temps de rejoindre un réseau. J’ai étudié l’ensemble des propositions des différentes enseignes et j’ai donné ma préférence à Anacours, un réseau qui me paraissait sérieux et en plein développement.
Quels sont les points forts et les points faibles de l’enseigne ?
Il faut que cela se développe au niveau national et qu’elle améliore sa notoriété. En revanche, ils sont sérieux et les choses évoluent dans le bon sens. Nous avons un système d’information qui est bien développé et qui continue à se développer. C’est un bon outil qui nous fait le plus gros du travail. Les produits sont bien expérimentés et ils correspondent à la demande. Nous avons une formation complète pour bien démarrer et il est toujours possible de leur demander conseil.
Quels sont vos projets, ouvrir une troisième agence ?
Non, c’est bien comme ça. Il faut que je développe le chiffre d’affaires pour être rentable. Pour le moment, je ne me verse pas de salaire. Ce type d’activité démarre doucement. Il faut se faire un portefeuille de clients, construire une crédibilité qui s’installe dans la durée.
