Réseau à la Une : Helen Doron English, prendre le temps de se développer

L’enseigne Helen Doron English affiche une forte expérience à l’international. Créé à la fin des années 1980 en Israël, le réseau a essaimé son savoir-faire au fil des ans. Arrivé en France en 2016, le concept se développe petit à petit. À date, le réseau compte 8 centres opérationnels. L’objectif : atteindre les 20 franchises d’ici trois ans.

Si l’enseigne Helen Doron English est assez récente en France, elle existe depuis 1985 et se développe via la master-franchise depuis le milieu des années 1990. Aujourd’hui, le réseau compte 1 150 centres à travers le monde et est présent dans 39 pays. “La méthode Helen Doron English repose sur deux principes : l’immersion totale des enfants, d’où le fait que la totalité du cours se fait en anglais, et le fun. Sur une heure, nous enchaînons les activités avec du nouveau matériel pour travailler l’ensemble des notions. Le crédo de l’enseigne : un enfant qui s’amuse est un enfant qui apprend, et c’est ce qui m’a séduit”, développe d’emblée Elisabeth Ruelle-Mégrelis. La master-franchisée a intégré l’enseigne en 2016 alors qu’elle cherchait une structure d’anglais pour ses enfants.

“Rien ne me convenait. Quand j’ai découvert Helen Doron English, je les ai contactés pour leur demander s’ils avaient des professeurs en France. Et là ils m’ont indiqué qu’ils cherchaient à s’implanter. Je me suis laissée séduire et je suis allée visiter des centres en Espagne”, confie Elisabeth Ruelle-Mégrelis.

PLUS D’INFORMATIONS : Ouvrir une franchise Helen Doron English

Le premier centre Helen Doron English ouvre donc à Paris, dans le 6e arrondissement en 2016. La master-franchisée l’explique : elle a démarré proche de son lieu d’habitation, même si la concurrence était présente. “Je pense que c’est aussi l’assurance du succès de ne pas trop s’éloigner. Je suis maman de 3 enfants, j’avais un tissu social dans le quartier (écoles, activités extra-scolaires, etc.). Ce qui me permettait de parler du projet et cela ne laissait pas les parents indifférents. Car on a tous une mauvaise expérience à raconter avec l’anglais. Cela touche à l’émotion”, détaille Elisabeth Ruelle-Mégrelis.

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Et comme le bouche-à-oreille est important pour le réseau, il a fallu mobiliser des astuces pour se faire connaître. “Nous avons mis en place des journées portes ouvertes, des cours d’essai, etc. Petit à petit la notoriété se fait”, explique-t-elle. La master-franchisé a, par ailleurs, amorcé dès le départ un long travail pour pouvoir lancer son développement en franchise sur le territoire.

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