Ô P’tit Môme, la franchise optimisée pour la petite enfance

Si le réseau lillois de micro-crèche Ô P’tit Môme a commencé son déploiement en 2019, Jimmy Dacquin, son fondateur, qui recense 170 franchisés, souhaite passer la barre des 200 en 2023.

Réseau de micro-crèche, Ô P’tit Môme peut accueillir jusqu’à 12 enfants simultanément, âgés de 10 semaines à 4 ans. Avec, 270 établissements dont 170 en franchise, le concept plaît et continue de grossir. L’une des forces du réseau est la personnalisation des crèches. Du logo au site Internet, en passant par le nom de la micro-crèche et l’aménagement de cette dernière, le franchisé peut vraiment créer son image. “Nous avons décidé de faire comme ça car au moins le franchisé se sent indépendant. Pour le nom, c’est généralement en rapport avec leur expérience ou le prénom de leurs enfants. En somme, il y a donc le nom choisi par le franchisé accompagné de la mention By Ô P’tit Môme”, explique Jimmy Dacquin, PDG et fondateur de Ô P’tit Môme. Le partenaire peut également choisir la pédagogie qu’il souhaite instaurer : écoresponsabilité, musicothérapie, psychomotricité ou éveil sensoriel. Cependant, il est aussi possible de demander un concept clé en main.

PLUS D’INFORMATIONS : Ouvrir une franchise Ô P’Tit Môme

Une franchise rentable

Pour le moment, l’enseigne n’a pas encore quadrillé tout le territoire français. Pour ce faire, le réseau devrait atteindre les 200 franchisés d’ici début 2023. Ce secteur sous-tension, face à une demande croissante des parents, garantit aux micro-crèches d’être vite rentables. “Dès qu’on ouvre, on est très rapidement complet. Et dès la première année, on peut faire un chiffre d’affaires de 240 000 euros”, se réjouit la tête de réseau avant de continuer : “On n’a pas vraiment de lieu type, on doit simplement se positionner là où les gens travaillent et où ils habitent”. Le réseau Ô P’tit Môme, n’a pas de profil détaillé pour ses franchisés. Pour aspirer à rejoindre le réseau, il faut simplement être motivé par le projet et avoir bien entendu, une grande appétence pour le secteur de la puériculture.

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Un accompagnement total

Le secteur de la petite enfance est très protégé. Pour pouvoir exercer, des autorisations départementales doivent-être délivrées. Et les locaux, avoir été normés pour pouvoir accueillir des enfants en bas âge (ERP). “Notre rôle en tant que franchiseur, c’est déjà de les accompagner dans les démarches administratives et de trouver le bon endroit pour lancer la micro-crèche”, détaille Jimmy Dacquin. Pour ses franchisés, le réseau propose une formation de 10 jours. Pendant 48h, les candidats à la franchise sont invités au siège afin de discuter du projet. Ensuite, ils se rendent, pendant 3 à 4 jours dans une micro-crèche Ô P’tit Môme pour suivre un stage de formation et suivre le quotidien d’un établissement. Enfin, pendant 4 jours les futurs franchisés apprennent la partie comptabilité-gestion. Évidemment un accompagnement général est garanti durant les 5 années de contrat. En plus de cela, l’enseigne s’apprête à ouvrir la Ô P’tit Môme Académie. “On espère bientôt obtenir la certification Qualiopi, afin d’attester de la qualité de la formation. Cette académie aura pour but de former des gens sur la petite enfance”, déclare le fondateur de Ô P’tit Môme. Cela  permettra au réseau de créer un important vivier de salariés pour les franchisés.

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Ouvrir une franchise Ô P’tit Môme

Pour les futurs franchisés Ô P’tit Môme, le droit d’entrée est de 20 000 euros. Cette somme est découpée en deux montants : 14 000 euros à la signature et 6 000 euros à l’ouverture de la micro-crèche. Des redevances de 3 % sur le chiffre d’affaires (le droit de la marque) et de 1 % (pour la communication) sont également demandées. L’apport personnel est estimé à 20 000 euros pour 140 000 euros d’investissement global. À noter que ces investissements sont calculés sur une surface intérieure de 170 mètres carrés, cela ajouté à 30 mètres carrés d’extérieur.