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L’Immobilier sans vis-à-vis souhaite ouvrir 30 agences d’ici 2024

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L’enseigne qui a vu le jour en 2010 proposant des biens immobiliers sans vis-à-vis amorce son développement en franchise et souhaite ouvrir une trentaine d’agences d’ici trois ans. Explications avec Cédric Jullien, co-fondateur du réseau L’Immobilier sans vis-à-vis.

Évoluant sur un marché concurrentiel, L’Immobilier sans vis-à-vis a choisi de se différencier en se spécialisant sur des biens immobiliers proposant une vue dégagée. “J’ai rencontré mon associé alors que je cherchais moi-même à acheter un bien sans vis-à-vis. Quand j’ai souhaité me reconvertir, mon associé souhaitait également se mettre à son compte. Dans notre projet, nous nous sommes rendu compte que L’immobilier sans vis-à-vis était une évidence car aucune offre ne proposait de solutions à des clients qui recherchaient une vue dégagée”, détaille Cédric Jullien, co-fondateur du réseau. L’enseigne L’Immobilier sans vis-à-vis voit ainsi le jour en 2010, avec des premiers bureaux à Neuilly-sur-Seine, dans les Hauts-de-Seine. Dès 2015, le réseau a souhaité mailler davantage le département, en ouvrant une première agence physique à Courbevoie. “L’idée était de mailler le quartier de La Défense car c’est une zone au fort pouvoir d’achat mais aussi où les vues des immeubles sont dégagées, notamment pour les biens situés en bord de Seine”, détaille le co-fondateur du réseau.
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Trois agences pilotes

À date, L’Immobilier sans vis-à-vis compte trois agences pilote et souhaite continuer à étoffer son maillage territorial. Dans cette optique, le réseau vient d’annoncer son déploiement en franchise. “Nous souhaitons implanter le concept sur Paris mais également sur les principales grandes agglomérations”, souligne Cédric Jullien. La promesse de l’enseigne ? Ne proposer que des biens immobiliers dont les voisins se trouvent à une distance supérieure à 40 mètres face au salon du futur acquéreur. “Cela représente entre 15 % et 25 % des biens sur des villes de plus de 500 000 habitants”, estime Cédric Jullien. Si, sur le papier, on pourrait croire que ce concept pourrait trouver tout son sens sur des zones rurales et moins urbaines, le co-fondateur de L’Immobilier sans vis-à-vis précise : “La rareté fait la valeur du bien. Ce sera donc plus dans des zones où il y a une forte densité que notre plus-value sera importante. Car nous serons identifié comme l’acteur sachant identifier des biens rares que l’on pourra proposer à une clientèle spécifique”, affirme-t-il. Pour le fondateur de l’enseigne, la crise a par ailleurs accentué la volonté des acquéreurs d’avoir des biens avec des espaces extérieurs et/ou une terrasse. “Avec la conjoncture actuelle et le télétravail, les Français passent la majorité de leur temps chez eux et s’aperçoivent que leur espace de vie est essentiel pour leur bien-être, insiste Cédric Jullien. L’Immobilier sans vis-à-vis est une marque, en ce sens, résolument distinctive, qui offre une visibilité.”
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30 agences d’ici 2024

Et l’enseigne a de belles ambitions. Elle souhaite afficher un réseau de 30 agences d’ici les trois prochaines années. “C’est en ce sens que nous venons de lancer la franchise L’Immobilier sans vis-à-vis. Nous sommes actuellement en train d’étudier quelques candidatures. Nous prendrons le temps de bien sélectionner les candidats, nous ne sommes pas dans une démarche d’ouverture à tout prix. Nous voulons bien choisir nos premiers partenaires car ils seront nos porte-drapeaux en quelque sorte”, admet Cédric Jullien. Côté profils, l’enseigne recherche essentiellement des personnes en reconversion. “Plus précisément on recherche des profils qui ont une certaine maturité professionnelle et qui ont eu des poste d’encadrement. Idéalement, il faudrait que ces personnes soient sensibilisées à la gestion”, détaille le co-fondateur de L’Immobilier sans vis-à-vis.
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Notoriété naturelle

Si le réseau est encore jeune et souhaite étoffer son maillage territorial, Cédric Jullien estime que le potentiel est important. “Nous sommes reconnus sur nos zones de chalandise. Sur un marché ultra concurrentiel, d’agences généralistes, nous nous différencions par la vue dégagée et les clients, dès qu’ils possèdent un bien de ce type, viennent naturellement vers nous. Nous n’avons pas besoin de convaincre”, insiste Cédric Jullien. Pour intégrer le réseau, les futurs candidats devront compter 45 000 euros d’apport pour un investissement global (hors local et fonds de roulement à de 50 000 à 75 000 euros. “À terme, dès la deuxième année, le franchisé L’Immobilier sans vis-à-vis devrait être en mesure de réaliser un chiffre d’affaires situé entre 380 000 à 550 000 euros dès la deuxième année”, souligne Cédric Jullien.
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