Nouveauté [Vidéo] Vis ma Vie de franchisé chez Del Arte
Actualites

Le Comptoir de Mamie Bigoude, une crêperie très rock ‘n’ roll

Enseigne dans cet article

Voir plus

Après avoir crée Le Comptoir de Mamie Bigoude en 2018, Benoist Simeon s’était fixé comme objectif de se lancer en franchise. Après 4 ans de travail et un prix remporté au dernier Passeport pour la franchise, la première ouverture aura lieu en 2023.

Plongez dans les années 50 et bienvenue dans le Comptoir de Mamie Bigoude. Cette dernière vous invite à venir déguster ses galettes bretonnes dans son salon, sa chambre, sa buanderie ou encore sa cuisine. D’abord créée en 2008, par un père et son fils, l’enseigne Mamie Bigoude s’est un temps implantée en centre-ville avant de perdre son ADN dans les centres commerciaux. “On retourne en centre-ville avec nos clients historiques et nos recettes classiques. On retrouve aussi nos galettes et nos crêpes qu’on prépare devant le client”, explique le fondateur de la franchise. Dès son arrivée, en 2014, Benoist Simeon a repensé le produit pour retrouver l’esprit initial et casser les codes des crêperies traditionnelles avec Le Comptoir de Mamie Bigoude. Avec une décoration volontairement chargée et baroque, à l’esprit très rock ‘n’ roll, ce concept a pu s’inspirer du succès remporté par le groupe Big Mama fondé par Victor Lugger et Tigrane Seydoux. Des trattoria hautes en couleur qui ne jurent que par l’expérience client. “Par ailleurs, ce format reste ouvert toute la journée en continu”, poursuit Benoist Simeon. Avec son concept, Le Comptoir de Mamie Bigoude vient de remporter le prix de la restauration lors du dernier concours du Passeport de la Franchise en septembre 2022. À la tête de 4 restaurants en succursales (Blois, Orléans, Tours et Amboise), Le Comptoir de Mamie Bigoude espère s’installer sur tout le territoire et compter près de 20 comptoirs d’ici 2027. Pour y arriver, Benoist Simeon a opté pour un développement raisonné : une ouverture en 2023, deux en 2024, quatre en 2025 et six en 2026 et en 2027. Sans région prioritaire, la tête de réseau est prête à partir dans toute la France.
“Certains parlent de développement en escargot mais moi je pense qu’il est préférable d’aller là où il y a les franchisés. Ça peut aussi bien être Dunkerque que Saint-Cyr-sur-Mer”, précise le fondateur de l’enseigne qui compte également garder ses 4 restaurants en propre.
PLUS D’INFORMATIONS : Ouvrir une enseigne Comptoir de Mamie Bigoude

Un développement raisonné

Pour compléter la carte, une cuisine centralisée a été mise en place. “Pour faire baisser les coûts d’investissement, il n’y a pas de four pour réaliser des cuissons sur place. On utilise des produits locaux et frais qu’on vient mettre sous vide avant de les réchauffer au bain-marie”, indique Benoist Simeon. Dans les futures franchises, des produits locaux pourront être mis à la vente comme des boissons ou des recettes spéciales après validation par le réseau. Pour les futurs franchisés du Comptoir de Mamie Bigoude, l’investissement global pour un restaurant de 150 mètres carrés est de 250 000 euros. L’apport personnel est de 60 000 euros. Concernant le droit d’entrée, il est de 40 000 euros divisés en plusieurs parties : 20 000 euros pour la réservation de la zone, 10 000 euros de formation, 5 000 euros d’aménagement du restaurant et 5 000 euros pour l’accompagnement.
“Cela comprend au moins un passage dans le restaurant par trimestre mais s’il faut venir plusieurs fois par mois, je viendrais”, annonce le franchiseur.
Deux redevances sur le droit de la marque et sur la communication sont également demandées (respectivement de 4 % et 1 % sur le chiffre d’affaires).  Ce dernier est estimé à 600 000 euros au bout de la 3ème année. La tête de réseau n’a pas forcément de profil particulier concernant le futur franchisé même si une préférence se dégage : “On aime bien les couples. On en a déjà un à Limoges et en général, ça fonctionne plutôt bien”, témoigne Benoist Simeon. Une expérience en restauration est forcément préférable mais pas obligatoire car l’enseigne dispose d’une formation. Elle dure entre 6 à 8 semaines et parcourt toutes les facettes du métier. “Nous avons une partie pratique en salle et en cuisine. Il y a un savoir-faire culinaire important que nous dispensons. Nous proposons également une partie théorique sur la gestion, les ressources humaines, la finance et la communication”, conclut le fondateur de l’enseigne Comptoir de Mamie Bigoude. À l’ouverture d’une crêperie, l’équipe type est composée d’un franchisé qui exploite, d’un responsable, de trois ou quatre employés à temps plein et enfin d’un contrat étudiant.
À LIRE AUSSI : Le franchiseur Buns parie sur le juste équilibre de ses burgers

  • Type
  • Apport
  • Implantations

Ajouter un commentaire

Votre adresse IP ne sera pas collectée Vous pouvez renseigner votre prénom ou votre pseudo si vous êtes un humain. (Votre commentaire sera soumis à une modération)