Au quotidien, le fait de manger plus sainement est une préoccupation omniprésente. Cette dernière, relayée par les pouvoirs publics, lie directement l’alimentation à la santé. Face à une demande croissante, le marché de la diététique a su s’adapter et innover. Ce secteur, particulièrement porteur, offre de nombreuses opportunités en franchise.
De l’éducation à l’hygiène alimentaire en passant par les produits dits diététiques, de nombreux sujets peuvent être abordés par des personnes souhaitant prendre soin de leur corps.
“La diététique désigne l’ensemble des règles à suivre pour une alimentation bien équilibrée. Ces règles n’incluent pas seulement l’alimentation mais tiennent bien compte de l’hygiène de vie générale du patient”, explique LNA Santé. En effet, il s’agit de l’étude de l’ensemble des règles qui devraient régir l’alimentation de l’être humain. La diététique et la nutrition sont deux choses bien différentes. La nutrition est la science qui étudie les aliments et leurs effets sur l’être humain. Ce marché de la nutrition-santé regroupe l’alimentation-santé pour les séniors, pour les enfants, l’alimentation sportive, celle “sans” pour les allergies et intolérants et enfin la nutrition clinique pour les patients hospitalisés.
Allant des professionnels de la santé traditionnelle à la médecine alternative en passant par les suivis et coaching, le marché de la diététique englobe un grand nombre d’acteurs, tous très variés. Ici, le marché est porté par de véritables enjeux de santé publique liés au développement de maladies chroniques telles que l’obésité, le diabète mais aussi les maladies liées au vieillissement des personnes se manifestant par Alzheimer ou encore la dénutrition. Attention, ce marché est à dissocier de la mode des régimes à outrance. Il s’adresse davantage à une cible demandeur d’un mode de vie de qualité passant par une alimentation saine. Selon un sondage Opinion Way pour French Food Capital réalisé en 2017, plus de 8 personnes sur 10 accordent une place particulière à leur alimentation dont 21 % des interrogés expliquent y faire très attention.