Pas de crise pour l’esthétique ? Ouvert à la franchise depuis 2018, BAB Bar à Beauté propose, au cœur des centres commerciaux, un “coin beauté” sans rendez-vous destiné aux ongles, aux mains et au regard. Un marché en plein essor. Avec le coronavirus, le réseau a décalé certaines ouvertures, mais reste à la recherche de candidats à la franchise.
En 2016, Allegra Gohe, directrice d’un institut de beauté, crée des “kiosques de mise en beauté” en Normandie. Ouvert à la franchise depuis 2018, BAB Bar à Beauté propose, au cœur des centres commerciaux, un “coin beauté” sans rendez-vous destiné aux ongles, aux mains et au regard. “Nos clients sont des femmes actives, qui manquent de temps, et qui peuvent ainsi prendre soin d’elles sur le chemin du travail”, explique Léa Sagot, animatrice réseau.
Un secteur en plein essor
Le réseau compte 9 kiosques en succursale et 3 franchises, au Havre, à Dieppe et Rouen. Selon Léa Sagot, le marché de l’esthétique “est en plein essor ”. Et BAB Bar à Beauté se démarque par “la polyvalence” de ses prestations : “nous sommes les seuls à proposer à la fois un bar à ongles et un bar à regard.” Début 2020, BAB comptait accélérer son développement. Quatre ouvertures étaient programmées à partir d’avril, à Évreux, Orléans, Nantes et Tours.
Avec le coronavirus, le réseau a décalé leur lancement, mais reste toujours à la recherche de candidats à la franchise. L’enseigne recherche des personnes “impliquées, avec un profil entrepreneurial et des compétences commerciales”. Mais pas besoin de venir du monde de l’esthétique : le réseau propose une “formation complète”. L’accompagnement couvre aussi bien la recherche du local que le développement commercial. Le droit d’entrée s’élève à 16 000 euros et l’apport personnel à 30 000 euros pour un chiffre d’affaires atteignable de 170 000 euros au bout de deux ans.