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2 Day, la 3ème et nouvelle franchise du Groupe Turfood

Après avoir lancé Gomu Burger et Obrigado Rodizio, le groupe de restauration multi-marques Turfood présente sa dernière née en région parisienne, 2Day. Un nouveau concept de restauration inauguré il y a un mois seulement et basé sur une carte sucrée-salée, dont les codes architecturaux s’inspirent de la bande dessinée. Explications avec Ali Chouiki, co-fondateur du groupe.

Après les burgers à base de pain bao chez Gomu Burger et les généreuses brochettes d’Obrigado Rodizio, le groupe Turfood déploie son nouveau-né dans la capitale, 2Day. Un concept de restauration qui mise tout sur le visuel de ses plats, comme sur l’architecture de ses lieux. “2Day propose des spécialités sucrées et salées dans un décor qui immerge le client dans une bande dessinée en noir et blanc avec un jeu de contours et de profondeur. C’est comme si vous étiez dans la vignette même ! Le décor a été conçu et créé en interne. Ici, on mise tout sur le ‘pull-me’. Il s’agit d’une base gâteau accompagnée de sauces sucrées maison, que l’on va servir au client avec un emporte-pièce et que l’on va retirer au moment de lui apporter son plat. Même principe pour le salé, avec des pâtes par exemple, pour créer cet effet coulant, ou dit ‘splash’ dans l’assiette”, explique Ali Chouiki, co-fondateur du groupe multi-enseignes et à l’origine de la marque Gomu Burger. Si pour l’heure le concept ne s’illustre qu’au travers d’un seul point de vente, en succursale, dans le 11ème arrondissement de Paris, inauguré il y a tout juste un mois avec seulement une vingtaine de places assises ainsi que de la vente à emporter, ce dernier devrait rapidement conquérir la capitale. Il s’agit en effet d’un premier établissement pilote pour tester le concept auprès des consommateurs.
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Ouvrir partout en France pour les gourmands

Au vu de l’influence et de l’affluence au cœur de cette première adresse, nous avons l’intention d’en ouvrir une seconde. Autour d’une superficie bien plus importante et toujours en Île-de-France, avant de faire rayonner le concept dans toutes les métropoles de l’Hexagone. Après un mois d’ouverture, nous avons déjà reçu une centaine de candidatures pour la franchise ! Nous pourrions donc prochainement ouvrir à Lyon, à Marseille, à Toulouse, ou encore à Lille, mais aussi à Montpellier, Strasbourg, ou Rennes”, ajoute l’entrepreneur, qui, avec cette nouvelle offre, espère attirer autant de familles que de cadres et d’étudiants. En plus d’avoir une carte alléchante avec du sando (pain de mie japonais) à la truffe, des plats à base d’avocat et de crevette, mais aussi des desserts à base de bueno, pour un ticket moyen à 22 euros, le concept peut également s’implanter où bon lui semble, confie Ali Chouiki. “Il faut simplement disposer de 100 m2 minimum de surface pour ouvrir chez nous car l’idée c’est d’avoir des emplacements de 50 places assises. Mais le ou la franchisée pourra aussi bien ouvrir en centre-ville qu’en centre commercial. Ou bien demander un pop-up sucré uniquement, même si, idéalement nous aimerions disposer des deux. Après tout, le concept repose sur une cuisine d’assemblage
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40 établissements d’ici 2025

Cela devrait permettre au dirigeant de mailler le territoire à vitesse grand V d’ici 2025, quand ce dernier aimerait “recenser 40 établissements ouverts d’ici là, tout en capitalisant sur les autres marques du groupe, les candidats qui nous approchent souhaitant devenir multimarques”, complète ce dernier qui veut aussi ouvrir d’autres adresses à Paris (chacune autour d’une équipe de 10 personnes sur place, gérant compris). Enfin, si Ali Chouiki ne communique pas encore sur les modalités du DIP de 2Day, “en cours d’achèvement”, ce dernier mentionne qu’il faudra néanmoins s’engager autour d’un contrat de franchise d’une durée de 7 ans pour adhérer au concept. “Et ce, autour d’un investissement immobilier raisonnable avec une formation d’un mois pour intégrer tous les codes du concept”. En revanche, les multi-franchisés en devenir, intéressés par les autres concepts du groupe Turfood ne pourront “pas se former à plusieurs concepts au même moment, s’ils envisagent d’ouvrir plus vite”, prévient Ali Chouiki. “Car à chaque concept son temps de formation pour ne pas que le ou la candidate s’emmêler les pinceaux !”. Mais avec 2Day, la promesse pour l’investisseur, d’atteindre “un chiffre d’affaires aux alentours de de 1,5 millions d’euros à l’année, au regard d’un établissement Gomu Burger, qui devrait finir l’année à plus de 4 millions d’euros”, assure Ali Chouiki, à titre d’exemple. Prochain objectif pour le dirigeant ? Faire rayonner ses marques de restauration en Europe et partout à l’international, quand Gomu Burger s’est aussi ouvert à la Belgique (à Bruxelles), depuis notre dernière conversation avec lui, au mois de décembre.
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