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DreamAway aspire à un développement européen

Déjà présent dans toute la France, DreamAway, spécialiste de la réalité virtuelle, espère dans les prochaines années consolider sa présence sur le territoire national et européen. Pour cela, l’un des cofondateurs Bastien de Breuvand mise sur la licence de marque.

Ouvert en 2018 à Lyon (69), DreamAway est un lieu de loisirs basé sur la VR (Réalité Virtuelle). Dans un secteur qui commence à évoluer, l’enseigne se démarque par sa capacité à proposer des activités dédiées aux particuliers mais également aux entreprises. Ces dernières peuvent alors réaliser dans les locaux, des team-building ou encore des séminaires. L’objectif également pour le cofondateur, faire rentrer la réalité virtuelle dans l’univers familial : “Avec notre offre, nous parvenons à avoir un positionnement intergénérationnel et familial. Nous proposons uniquement des jeux à plusieurs (en collaboration) mais on peut également aller au-delà du simple loisirs car nous proposons des formations de secourisme” explique Bastien de Breuvand. Concrètement, les clients ont l’opportunité de prendre part à des jeux d’aventure, des jeux en famille ou encore des escapes games. À l’aide de la réalité virtuelle, le joueur est plongé dans différents univers, que ce soit sous l’eau, dans l’espace ou encore devant les flammes de Notre-Dame de Paris. Il existe également des ambiances fantastiques. DreamAway, agit en tant qu’exploitant et a choisi de nouer des partenariats avec des studios de créations d’envergure.
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Un développement européen

Dans les locaux dont la surface oscille entre  300 et 400 m², des espaces de bureaux (ainsi que des salles de réunion) ont été également créés exclusivement pour les entreprises. L’ensemble accompagné de 16 postes dédiés aux activités en réalité virtuelle. Aujourd’hui, onze DreamAway ont été ouverts en France dont quatre en propre à Lyon (69), Lille (59) Clermont-Ferrand (63) et Strasbourg (67). Depuis juillet 2020, l’enseigne a ouvert son premier espace en licence de marque à Aix-en-Provence (13). Désormais, le fondateur aspire à consolider son maillage territorial.
“A la fin 2023, nous espérons atteindre vingt DreamAway et avoisiner la cinquantaine d’ici 5 ans. En France, il nous reste des territoires à densifier du côté de Nice (06) et de Dijon (21). Par la suite, nous avons l’ambition de nous développer à l’étranger. Nous avons noué des contacts en Suisse au Benelux et nous regardons également en Italie et en Espagne.” précise Bastien de Breuvand.

Accompagné tout au long du parcours

Pour les futurs licenciés, DreamAway, a fixé ses droits d’entrée à 25 000 euros. Un apport personnel de 70 000 euros pour un investissement global de 255 000 euros est également conseillé. Présent en centre-ville ou dans des implantations dynamiques, l’enseigne cible des zones de chalandise de plus de 100 000 habitants. Ouverte à tous les profils, la tête de réseau recherche principalement des entrepreneurs pour faire rayonner la marque.  Mais un état d’esprit commerçant est également impératif. Une formation est logiquement fournie, permettant d’être accompagné de la recherche du local jusqu’à l’ouverture du centre. L’enseigne dispose d’une charte graphique à respecter, notamment avec un code couleur (orange et noir). Cependant des ajustements sont possibles en fonction des zones choisies. “Dans notre DreamAway de Toulouse (31), Les briques roses sont célèbres. Nous avons adapté notre centre à l’architecture de la ville. Cela donne un côté atypique très sympa” se réjouit le fondateur. Le chiffre d’affaires prévu en année 2 est de 350 000 euros puis de 400 000 euros en année 3 avec un potentiel de 600 000 euros les années suivantes
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