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Le Cercle des Arômes déploie sa licence de marque

C’est en 2017, après avoir achevé ses études dans le management du vin à Dijon (Bourgogne), qu’Antoine Castillon fonde Le Cercle des Arômes avec un premier bar à vins ouvert à Colmar (Alsace). Le concept prône la dégustation de vins au verre mais également à la bouteille. De fait, en s’entourant de ses premiers licenciés, l’entrepreneur entend monter en puissance sur tout le territoire national.

La première préoccupation d’Antoine Castillon, fondateur du concept Le Cercle des Arômes ? Défendre corps et âme, le terroir alsacien. Tout débute en 2017, autour d’un business plan de fin d’études qu’il transforme en un véritable projet entrepreneurial. Depuis, celui qui a été formé au management du vin à Dijon (21), accueille tous les gourmets à venir déguster des produits locaux dans son établissement de Colmar (68). Qu’il s’agisse de vins de producteurs indépendants ou encore de planches de fromages et charcuteries. “Aujourd’hui, le Cercle des Arômes est spécialiste du vin au verre. C’est une marque protégée qui plus de 150 références viticoles, dont une part importante en provenance de l’Alsace, et plus particulièrement des alentours de Mulhouse. Contrairement aux bars à vins classiques, vous avez donc la possibilité de les déguster au verre. Mais également à la bouteille”, explique Antoine Castillon. Et le fondateur de l’enseigne d’ajouter :
“Vins bio, biodynamiques, etc, le Cercle offre autant de vins à déguster entre amis que de références reconnues dans les guides, allant de 5 à 30 euros pour les plus prestigieux d’entre eux ! Quant aux produits proposés, ce sont des planches. Et tout est coupé devant le client.”
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Franchiser toute l’Alsace

Objectif de l’entrepreneur, qui ouvrira son second établissement sous licence de marque avant la fin de l’année à Mulhouse ? Se faire connaître du plus grand nombre de visiteurs sur son territoire, en commençant par mailler le Grand Est de la France. J’aimerai me développer dans des villes comme Strasbourg, Metz et Nancy. D’abord autour d’un développement en escargot, puis, à terme, sur tout le territoire national. L’idée étant de pouvoir me déplacer facilement entre les différents établissements car le fait de gérer un réseau à taille humaine, sans avoir à déléguer certaines missions, m’importe beaucoup”, précise l’entrepreneur.Et ce dernier d’ajouter qu’ouvrir deux unités par an, ce serait l’idéal !”  D’autant qu’entre “la création de la société, l’administratif avec les notaires, les travaux, le temps de formation et l’accès aux stocks, les délais sont incompressibles. Parce qu’entre l’étape de signature et l’ouverture du local, mes prochains licenciés devront tenir compte d’un délai de six mois”.  Une fois formé au savoir-faire de l’enseigne pendant 4 semaines (en fragmenté) au sein de l’établissement de Colmar (pour se familiariser à la gestion d’un établissement Le Cercle des Arômes et au bon déroulement des dégustations, notamment en apprenant à classifier les vins), le licencié pourra lancer son activité. Il commencera a profiter des nombreux avantages du réseau. À commencer par le fait de travailler en flux tendus.
La particularité, pour le partenaire, sera d’obtenir des bouteilles en flux tendus via nos différents partenaires. Les licenciés auront ainsi possibilité d’en commander à l’unité pour avoir peu de stock, davantage de trésorerie et plus de confort”, détaille Antoine Castillon.
Et ce dernier d’indiquer : Un établissement pourra atteindre un chiffre d’affaires de 300 000 euros hors taxes, voire 500 000 euros pour un établissement plus important, avec peu de frais de personnel et des charges limitées. D’autant que trois personnes suffisent pour gérer un tel établissement”. La rentabilité d’un Cercle des Arômes est donc intéressante pour son gérant puisque la tête de réseau garantit 70 % de marges.
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150 000 euros d’investissement global

D’autre part, le licencié d’un Cercle des Arômes disposera du système Coravin permettant de conserver ses vins plus longtemps, une fois les bouteilles ouvertes. Cela pour en garder toutes les propriétés, dont la fameuse effervescence. Autre avantage pour ceux qui aimeraient rejoindre l’enseigne : Disposer d’une certaine liberté dans la gestion de leur établissement. Je suis à 100 % d’accord pour donner carte blanche à mes partenaires. C’est d’ailleurs ce qui fera l’attrait de mes unités ! Mes partenaires auront 20 % de leur chiffre d’affaires à investir comme ils le désirent dans leur activité : Pour privatiser le local, proposer une planche différente de la mienne, etc. Parce que j’estime que, même si le concept est cadré et charté, il ne sert à rien de brider tout le monde ! L’important, à mes yeux, c’est de respecter le cahier des charges avec les fournisseurs. Le tout en ayant bien entendu validé les idées ensemble au préalable !”, souligne Antoine Castillon qui accueillera autant d’experts en œnologie que de profils non-issus du commerce ou de l’univers viticole. Typiquement des candidats en reconversion professionnelle. Et le fondateur du Cercle des Arômes d’indiquer : Je pourrais également accueillir des multi-franchisés, tant qu’ils ne délèguent pas trop leurs missions et restent présents dans leur établissement”. De ce fait, les futurs licenciés pourront opter pour deux formats d’établissement. Soit évoluer dans un point de vente d’une superficie comprise entre 80 et 100 m2, soit dans une unité de 150 m2 pouvant accueillir jusqu’à 50 places assises. Mais ils devront, dans tous les cas, disposer, selon les propos d’Antoine Castillon, de 30 % de l’investissement global pour convaincre les banques de la viabilité du projet. Et ce dernier de conclure : Prévoyez donc un apport personnel de 50 000 euros pour un petit format, hors fonds de commerce, pour un investissement global de 150 000 euros. Et des redevances de 6 %”, indique ce dernier. Il faudra également compter 15 000 euros de droits d’entrée pour une petite structure, contre 20 000 euros pour un grand format.
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