Nouveauté [Vidéo] Vis ma Vie de franchisé chez Del Arte
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Équipement de la personne – Zoom sur les enseignes

 

Chaussures

 
Loding
C’est en 1998 que la société française Loding a vu le jour, avec un concept produit associant la chaussure, la chemise et d’autres accessoires masculins. Originalité pour les clients : des prix uniques par produit, fixes toute l’année, sans promotion ni soldes.
Loding a dans un premier temps développé un réseau succursaliste de dix points de vente sur Paris jusqu’en 2006, pour ensuite, dans une seconde étape, mettre en place un pôle franchise. Fin août 2011, le réseau comptait 50 unités en France (dont 47 franchises) et quatre pays étrangers étaient implantés. Comme le souligne Vincent Di Nino, directeur du développement, “aucune boutique Loding n’a à ce jour été fermée”. En septembre, l’enseigne annonçait l’ouverture de six boutiques supplémentaires d’ici la fin de l’année, et en prévoyait huit en 2012.
Elle a mis en place un contrat de franchise de cinq ans, avec un droit d’entrée de 20 000 euros HT. Une redevance d’enseigne et d’assistance annuelle de 1 % du chiffre d’affaires HT est demandée. La redevance de publicité nationale s’élève elle aussi à 1 % du chiffre d’affaires HT (sauf pour les implantations extérieures à la France). Il faut prévoir un investissement moyen hors pas-de-porte de 120 000 euros dont au moins 60 000 euros d’apport personnel.
“Notre objectif est de trouver des franchisés ayant l’esprit Loding, indique Vincent Di Nino, à savoir véhiculer dans son commerce un esprit haut de gamme de service tout en alliant un haut niveau de performance commerciale. Nombreux franchisés n’ont pas conscience que ce métier nécessite une présence quotidienne dans son point de vente et une constance dans l’acte de vente et le service client”.    
 
André
Enseigne fondatrice du Groupe Vivarte, André offre désormais en centre-ville ou centres commerciaux une gamme qui se veut jeune, mode et accessible. En effet, après plus de 100 ans d’histoire, André a connu une profonde mutation : un repositionnement dans son style comme dans son offre résolument plus qualitatifs, jeunes, “mode”, féminins sur un réseau rénové et resserré en termes de points de vente. Ce repositionnement s’ancre sur les valeurs de l’enseigne : l’accessibilité tant en mode qu’en prix, la proximité avec sa clientèle, le juste niveau de qualité prix. Chaque saison, de jeunes créateurs viennent enrichir les gammes de chaussures, maroquinerie et accessoires de mode. Au 31 août 2011, la France comptait 167 boutiques (35 affiliés). La surface totale recherchée pour ouvrir une unité est comprise entre 80 à 130 mètres carrés. Il s’agit d’emplacements n°1 en centre-ville ou centre-commercial, dans des zones de chalandise de 50 000 habitants. Le contrat de commission-affiliation est signé pour cinq ans.   
 
Finsbury 
Finsbury est une enseigne spécialiste mono-marque, mono-produit en souliers cousus mains pour homme. “La marque Finsbury est réputée depuis près d’un quart de siècle pour ses souliers hautement qualitatifs à des prix accessibles, souligne Antoine Guillorit, directeur Pôle franchise. (…) Nous avons racheté la marque et l’ensemble des magasins en 2010. Après quelques mois de restructuration juridique et organisationnelle, 2011 est le point de départ de notre nouveau développement : franchises, ouvertures de succursales, entrepôt logistique, site Internet marchand, programme de fidélisation, ouvertures à l’étranger… sont quelques chantiers lancés et sur lesquels nous travaillons activement”.
Début 2011, l’enseigne comptait dix points de vente en succursales, fin août deux franchises avaient d’ores et déjà ouvert leurs portes. D’ici la fin d’année, deux autres succursales et une franchise seront inaugurées. Des discussions étaient également en cours pour des levers de rideau en décembre. Le contrat de franchise dure six ans. Le droit d’entrée s’élève à 25 000 euros, les royalties à 6,5 % et la redevance communication à 2 %. Côté investissement, il faut prévoir entre 250 000 et 300 000 euros, dont au moins 30 % d’apport personnel. 
 
Repetto
“Notre secteur d’activité et concept sont assez uniques puisque nous faisons côtoyer deux univers dont le premier, l’univers de la Danse, légitimité de la marque, est la base du second : chaussures de ville, maroquinerie”, explique Lionel Durand, directeur retail. L’histoire de Repetto a démarré en 1947. Rose Repetto, la maman de Roland Petit, crée pour son fils danseur étoile à l’Opéra de Paris, une paire de pointes, par un système de cousu-retourné qui se perpétue aujourd’hui. En 1956, elle ouvre sa première boutique au 22, rue de la Paix à Paris. De nombreux danseurs viennent s’y fournir. Entre temps, elle crée pour Brigitte Bardot, la paire de ballerines “Cendrillon” aujourd’hui devenue culte. La production est alors implantée à Saint-Médard-d’Excideuil en Dordogne en 1967 (les pointes et ballerines de ville y sont encore à ce jour fabriquées). Dans les années 70, Serge Gainsbourg, devient à son tour une icône de la marque.
Deux décennies plus tard, alors que cette dernière est en déclin, “Jean-Marc Gaucher reprend la société et lui donne un nouvel essor. Durant ces dix dernières années, elle s’est positionnée comme une marque de luxe, en tant que référence mondiale dans le monde de la danse, mais aussi dans la confection de chaussures de ville”.
Désormais, le développement est international, avec pour tête de pont l’Asie (Japon, Corée, Hong-Kong), et depuis septembre 2010, en plus de succursales, l’enseigne ouvre des unités en commission-affiliation. Le contrat de sept ans prévoit un droit d’entrée de 15 000 euros (mission de l’architecte comprise). Le taux de commission est de 40 % sur le chiffre d’affaires HT. À noter que le développement se fait exclusivement en centre-ville.  
 
Minelli  
Créée en 1972, Minelli fait partie du Groupe Vivarte depuis 1984. La marque s’est ensuite rapprochée de l’enseigne Orcade en 2001. Le réseau harmonisé et restructuré comptait au 31 août 205 points de vente en France (130 boutiques dont 18 affiliées), situés en centre-ville ou centres commerciaux. Le concept Minelli se destine à une clientèle urbaine active et exigeante. La marque propose à ses clientes une large collection de chaussures et maroquinerie très tendance, raffinée et élégante. L’homme, quant à lui, peut se chausser dans tous les styles : sport, détente ou classique-chic. “Minelli a su se positionner en tête des marques de chaussures vendues dans les grands magasins type Galeries Lafayette ou Printemps”, souligne l’enseigne.
Cette dernière propose un contrat de commission-affiliation de cinq ans. La surface recherchée pour ouvrir une boutique est de 80 à 120 mètres carrés, en emplacement n°1 en centre-ville ou centre commercial, et sur des zones de chalandise de 50 000 habitants.
 
San Marina
Née en Provence au début des années 1980, la marque propose dès l’origine à ses clientes un large éventail de chaussures tendance, alliant qualité et créativité, et vendues à des prix très attractifs. Le concept San Marina repose sur une idée originale et innovante : des boîtes de chaussures à même le sol pour un service facilité et épuré. Plus de 700 modèles sont ainsi proposés chaque saison aux clientes et clients. L’homme peut en effet également se chausser quels que soient ses goûts et son mode de vie : élégance, classique ou détente. L’enseigne est largement implantée à l’échelle nationale et internationale. Au 31 août 2011, elle comptait 232 boutiques en France (47 affiliés et franchisés). Elles sont situées en emplacement n°1, en centre-ville ou centre commercial, avec des zones de chalandise de 50 000 habitants. Le contrat de commission-affiliation est signé pour cinq ans. La surface totale recherchée pour une unité est de 100 à 120 mètres carrés.    
 
Et aussi…
Paul Strada, Clarks, Du pareil au Même, Eram, TBS, Gémo, Bocage, Texto, Pom d’Api, Eden, Arbell, Les Pieds sur Terre, Podolinea, Carré de la Mode…
Attention, liste non-exhaustive.
 

Maroquinerie, bijoux, accessoires de mode

 
Lollipops
Lollipops évolue sur le secteur de l’accessoire de mode, autour plus précisément de trois familles : les sacs, les chaussures et les bijoux fantaisie. Il s’agit d’une marque créateur. “Tous nos modèles sont exclusivement créés par notre bureau de style parisien, détaille Yann Ducarouge, directeur général et co-fondateur. Notre positionnement est moyen de gamme, la cible est la jeune femme citadine active, aimant la mode”.  La marque a vu le jour en 1998 et le premier magasin, à Paris, l’année suivante. Elle compte aujourd’hui 110 boutiques dans le monde dont 25 en France (11 franchises). Lollipops a décidé de proposer deux types de contrats : de la franchise simple, signée pour cinq ans, avec un droit d’entrée de 12 000 euros et 5 % de royalties ; et de la commission-affiliation, également pour une durée de cinq ans, avec 12 000 euros de droit d’entrée, mais cette fois sans royalties.
Pour les deux contrats, l’aménagement spécifique Lollipops revient à 30 000 euros (mobilier, peinture, sol, éclairage), le système informatique à 4 200 euros (hard + soft) et la communication initiale à 5 000 euros. En franchise simple, il faut y ajouter le stock initial d’environ 20 000 euros. L’apport personnel minimum nécessaire est de 60 000 euros.
L’enseigne est en phase de recrutement pour les villes de Bordeaux, Nantes, Lorient, Lille, Nancy, Strasbourg, Annecy, Avignon, Nîmes, Saint-Tropez et Courchevelle.
 
Nouveaux Bijoutiers
Créée en 1992 pour répondre aux besoins logistiques des bijoutiers indépendants (communication, fournisseurs, formations…), l’enseigne Nouveaux Bijoutiers évolue sur le marché de la bijouterie traditionnelle. Elle propose à ceux qui la rejoignent un contrat de partenaire d’une durée d’un an, tacitement reconductible. Ils versent un droit d’entrée de 750 euros hors taxes et achètent également des actions Nouveaux Bijoutiers pour 1 500 euros. Les cotisations mensuelles sont de 445 euros communication comprise. Côté investissement, il faut prévoir environ 350 000 euros, dont 30 % d’apport au minimum.
À noter pour ceux qui souhaitent des concepts plus spécialisés : les enseignes Nouveaux Bijoutiers des Montres (montres et quelques bijoux pour hommes) et Nouveaux Bijoutiers Tendance (bijoux fantaisie).
Au total, les Nouveaux Bijoutiers comptaient début septembre 180 unités adhérentes.
 
Jean Delatour
C’est en 1981, à Vénissieux (69), que la première boutique Jean Delatour a vu le jour. Les points de vente sont de grands magasins spécialisés en horlogerie et bijouterie (300 à 400 mètres carrés environ) implantés dans des villes moyennes de plus de 50 000 habitants, en zones commerciales périphériques. L’offre proposée va des montres aux bijoux or, argent et plaqué or, en passant par la bijouterie fantaisie.
Après avoir longtemps misé sur les succursales, l’enseigne se développe également désormais par le biais d’un contrat de commission-affiliation de sept ans. Aucun droit d’entrée n’est demandé. La redevance de marque s’élève à 0,5 % HT du CA HT. La publicité est payée par l’affilié.
Côté investissement, 250 000 euros HT seront nécessaires pour les travaux d’agencement. Un apport personnel de 80 000 euros sera demandé. “Nous recherchons des candidats pour des villes de 100 000 habitants et plus pour garantir le succès”, souligne Serge Frety, le directeur général. Le profil idéal est celui d’un “commerçant dans l’âme, qui a envie de s’investir dans un projet d’entreprise”. Le réseau comptait début septembre 50 succursales en France et 14 franchises. 
 
Synalia
Le groupement de bijoutiers Synalia est né en 2002 de la fusion de deux entités historiques du secteur : La Guilde des Orfèvres (1895) et Bijoutiers de France (1959). Il conseille, équipe et accompagne les bijoutiers de la coopérative pour pérenniser leur position sur le marché et assurer le développement global du réseau. Le groupe propose ainsi à ses adhérents une offre globale de services afin d’optimiser leur gestion quotidienne du marché. Il couvre l’ensemble du marché bijouterie et montres à travers une stratégie axée sur le développement de ses quatre enseignes complémentaires :
– La Guilde des Orfèvres est l’enseigne de bijouterie horlogerie haut de gamme du groupement Synalia. Elle repose sur une localisation affirmée en centre-ville. Elle représentait début septembre 75 points de vente.
– Julien d’Orcel rend, depuis sa création en 1981, le bijou accessible à tous et déculpabilise l’envie de se faire plaisir avec une offre large et variée, un service de qualité et des magasins ouverts favorisant une libre circulation. À fin 2011, Julien d’Orcel représentera 170 points de vente avec une forte implantation en centre commercial.
– Heure & Montres est l’enseigne spécialisée sur le segment de l’horlogerie. Elle se distingue par une approche moderne du métier en positionnant la montre comme accessoire de mode. Elle est présente aussi bien en centre-ville qu’en centre commercial. En 2011, Heure et Montres représente 51 points de vente.
– Parfait Alibi est positionnée sur le segment de la bijouterie fantaisie. L’enseigne a été créée en 2004 par Synalia pour compléter son offre afin de couvrir l’ensemble des segments du marché bijouterie et montres. Début septembre, le réseau comptait quatre points de vente.
D’une manière générale, le groupement Synalia propose un contrat d’actionnariat. Pour le rejoindre, les bijoutiers deviennent actionnaires du groupe à hauteur de 3 572 euros (47 parts). En fin de contrat, cette participation au capital est remboursée intégralement. Des frais de fonctionnement annuels s’ajoutent au droit d’entrée et permettent aux associés de bénéficier de l’ensemble des services du groupe (achat, négoce, centralisation des paiements, conseil financier, formation, informatique et assurance). Ils comprennent des frais fixes (500 euros HT par an et par point de vente) ; et des frais variables dégressifs en fonction du CA (de 1 % à 0,35 % du CA TTC).
Pour les associés sous enseigne, c’est-à-dire qui ont signé un contrat de licence d’enseigne, une cotisation “Publicité et animation commerciale” permet de bénéficier de services dans les domaines du marketing, de la communication, de l’agencement et du développement comme les campagnes de communication nationales développées en télévision et les différents outils permettant de conquérir et de fidéliser les clients à l’échelle locale. Elle représente selon les enseignes entre 1,25 % et 2,25 % du CA TTC.
En fonction des types d’implantation (centre-ville, centre commercial), les investissements sont de l’ordre de 400 000 à 500 000 euros avec un apport nécessaire de 20 à 25 % du plan de financement. “Synalia favorise aujourd’hui pour ses enseignes des candidats dynamiques ayant un profil d’entrepreneur et un projet professionnel solide et viable, souligne Sandrine Maisano, directeur commercial et marketing. Une formation commerciale est nécessaire pour assurer la gestion du point de vente et garantir son développement. Le groupe accompagne ensuite ses associés à travers un programme de formation professionnelle”.
 

Achat-revente et discount

 
Cash Express
La marque Cash Express est née en 2002. Les premiers franchisés sont arrivés trois ans plus tard. L’enseigne, qui avait déjà fin août 75 magasins, devrait en compter 80 avant la fin de l’année.
Spécialisées dans l’achat-vente cash de produits d’occasion auprès des particuliers (électroménager, téléphonie, jeux vidéo, culture, informatique, etc.), les unités achètent et vendent notamment des bijoux or, plaqués et fantaisie. Une partie d’entre-elles, notamment en région parisienne, commercialise également des accessoires de mode.
L’enseigne a mis en place un contrat de franchise d’une durée de sept ans. Les franchisés versent un droit d’entrée de 30 000 euros et une redevance de 1 000 euros par mois les douze premiers mois, puis de 1 300 euros mensuels. Aucune redevance supplémentaire n’est réclamée. L’investissement moyen hors pas-de-porte s’élève à 350 000 euros, dont 100 000 euros d’apport personnel. “Nous envisageons vingt ouvertures dans les quinze prochains mois”, indiquait fin août Roger Beille, le président de Cash Express. Parmi les qualités recherchées chez les futurs franchisés : l’esprit d’entreprise, le goût du commerce et le pragmatisme.
 
Easy Cash
Spécialiste de l’achat-vente de produits d’occasion, Easy Cash rachète cash aux particuliers (en espèce jusqu’à 750 euros et par chèque ou virement au-delà) en moins de 30 minutes tous les objets de consommation courante : téléphonie, informatique, bijouterie, DVD, CD, livres et BD, jeux vidéo, image et son, électroménager, musique… La négociation se fait à l’amiable avec un acheteur expert et dans un espace dédié. Chaque produit est testé, nettoyé, réinitialisé, et garanti au minimum trois mois. Le réseau propose également tout au long de l’année une offre variée de produits à petit prix.
Piloté depuis sa création en 2001 par des actionnaires tous impliqués dans l’exploitation d’un ou plusieurs magasins, Easy Cash fête cette année ses 10 ans. Ses magasins réalisent un chiffre d’affaires moyen de 1,35 million d’euros. Fin 2011, la franchise totalisera 73 magasins.
Le contrat de franchise est signé pour une durée initiale de neuf ans. Le droit d’entrée s’élève à 33 000 euros et la redevance mensuelle à 1 000 euros plus un pourcentage sur le chiffre d’affaires. Il n’y a pas de redevance de communication. Un apport minimum de 150 000 euros sera nécessaire, pour un projet au coût moyen de 500 000 à 600 000 euros, hors droit au bail.
Easy Cash est en phase de développement soutenu, sur le modèle “Retail park”, mais également très prochainement sur un format “City”.
 
La Trocante
Née en 1977, La Trocante a été reprise en 2010 par le Groupe Fitroc (Troc.com).
Début septembre, elle comptait 33 franchisés. Dépôt-vente généraliste en libre-service, elle pratique également l’achat-cash sur certains produits. Ses magasins fournissent un très grand choix de produits d’occasion issus de gammes variées : biens d’équipement, de loisirs, de décoration, produits High-Tech, bijoux… Depuis quelques années, le réseau propose de plus en plus de produits High-Tech et de matériels informatiques. L’enseigne se spécialise aussi sur l’achat d’or et l’accessoire de mode féminin. Sa surface de vente s’organise autour d’univers de ventes bien déterminés.
Les personnes qui rejoignent l’enseigne signent un contrat de franchise pour une durée initiale de neuf ans et versent 30 000 euros de droits d’entrée. L’investissement moyen global est d’environ
180 000 euros, avec un apport personnel de 60 000 euros (dont les 30 000 euros de droits d’entrée).
“La Trocante envisage d’ouvrir une douzaine de magasins en France entre 2011 et 2012, tout en se rapprochant des centres-villes, indique Jean Luc Morlec, directeur développement. Concernant le profil idéal du candidat recherché, La Trocante s’intéresse surtout à la motivation et au parcours des postulants. Aucun niveau d’étude ou qualification particulière ne sont demandés. Les formations et l’accompagnement proposés par La Trocante aident les nouveaux franchisés à appréhender leur nouveau métier. Les candidats sont souvent des anciens de la grande distribution”. 
 
Bazarland
C’est en 1989 à Alès, dans le Gard, que le premier magasin Bazarland a été créé par Alain Georges. L’année suivante, naissait l’enseigne et sa centrale d’achat SPM International. De soldeur, Bazarland a progressivement muté vers un concept de bazar moderne. Le discounter, spécialiste du non alimentaire, se veut à taille humaine (1 000 mètres carrés). Les magasins distribuent deux types de familles d’articles : des produits permanents qui représentent près de 80 % du chiffre d’affaires ; et des gammes saisonnières (printemps, bazar été, Halloween, Noël, etc.) qui donnent une connotation foire, marché, fête foraine, et qui dans une ambiance festive suscitent la curiosité et l’acte d’achat des consommatrices. Fin août, le groupe comptait 33 magasins dans le réseau. Les nouveaux venus signent un contrat de concession de marque dont la durée est de sept ans. Le droit d’entrée s’élève à 20 000 euros HT et les redevances générales à 1 % du chiffre d’affaires HT annuel réalisé (sur la base minimale de 15 000 euros HT annuels). Il n’y a pas chez Bazarland de redevances liées à la communication. Côté investissement, il faut prévoir en moyenne 575 000 euros (300 000 euros hors stock – 275 000 euros de stock). L’apport personnel minimum est de 200 000 euros. “La conjugaison de l’effet crise et l’arrivée à maturité de Bazarland fait que l’enseigne est en plein développement. Les candidatures n’ont jamais été aussi nombreuses, et la baisse significative des loyers offre de plus grandes opportunités d’implantations”, souligne Bernard Lévy, directeur général de Bazarland.
 
Et aussi…
Cash Converters, Cash Converters City…
Attention, liste non-exhaustive.
 

Sport

 
Endurance Shop
Les points de vente Endurance Shop sont des commerces d’équipements de toutes natures pour les pratiquants de course à pied, randonnée, athlétisme, course nature. Comme le souligne Antoine Furno, fondateur et directeur général d’Endurance Shop, “le marché est très porteur en raison de l’engouement pour la course à pied, sport perçu comme facteur de bien-être et de santé”.
L’enseigne est née en 2002, avec un premier magasin à Chaville (92). S’appuyant exclusivement sur un développement en franchise, le réseau devrait compter 35 unités fin 2011 et espère atteindre les 42 en 2012. Le contrat de franchise est signé pour trois ans. Le droit d’entrée est fixé à 12 500 euros. À cela s’ajoute un Pack ouverture de 15 000 euros (incluant tous les éléments techniques et marketing). Chaque année, les franchisés versent une cotisation annuelle de 4 800 euros (pour la communication et les services divers). En matière d’investissement, une mobilisation d’au moins 125 000 euros sera indispensable (hors pas-de-porte). Un apport d’au minimum 30 000 euros est demandé. Le candidat devra être passionné et avoir des qualités de gestionnaire.
 
Et aussi…
Espace Foot, Intersport, Sport 2000…
Attention, liste non-exhaustive.

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